Absolument! Rien ne vaut le contact de ‘premiere main’, dirais-je. Intellectualiser un roman, meme a trame philosophique, ne peut, en aucun cas, rendre vivants les soubresauts de l’ame et du corps. Fut-il (l’ecrivain) le meilleur des coloristes ou nuanciers. Je pousserais jusqu’a dire, qu’on ne peut parler d’erotisme intellectuellement si on ne l’a pas vecu dans son corps. Pour l’ecriture, c’est pareil – a moins qu’on ne fasse un beau ‘voyage’ dans sa tete, il n’y a rien qui vaille le deplacement… |